Il s'agit en effet du complexe
Diachrysia chrysitis/stenochrysis. Deux espèces qui ne peuvent pas être déterminé, ni visuellement ni par les génitalia. Même la différence dans l'ADN est en dessous d'un seuil qui sépare normalement les sous-espèces.
D'ailleurs ils réagissent à des phéromones différentes. Ce phénomène a été interpréter comme un stade de spécification qui n'est pas couvert par une taxinomie trop rigide.
Souvent on appelle les spécimens avec les taches dorées séparées
Diachrysia chrysitis et les spécimens avec les taches reliées
Diachrysia stenochrysis, une simplification très discutée.
Ici une forme qui a été décrite comme
Diachrysia chrysitis f. juncta, une dénomination qui n'est plus valable aujourd'hui. Les deux taches dorées sont reliées.

Calvados, 29/05/2012